Joan Ajala est une collège australienne, et seulement par elle, je désirerai que l'Australie soyez plus près de l’Espagne, pour que je pût la traiter et bavarder avec elle bien à l'aise.
Quand j’ai fait ma version du dessin “Art nouveau”, qui semble être originellement un dessin allemand des années trente du XXe siècle, Joan m'a dit :
- “un joli papier, mais : a quoi sert-il ?”
Ici je mets encore une fois la photo du dessin original et une de mes premières versions, pour que vous voyez par où se déroule la question.
Je ne me suis pas rendu compte au commencement, et j'ai répondu que je peignais des papiers pour reliure et que le relieur serais qui devrait décider comment couper le papier.
Alors elle a attaqué à fond.
- As-tu étudié du dessin?
- Non, je n'ai pas étudié du dessin.
Et que en mélangeant du bleu avec du jaune ont obtient une vert est quelque chose que j'ai appris hier, comme on peut dire. Il y a des certaines choses, je crois, qu'ou sortent ou ne sortent pas, et il ne faut pas y penser plus.
- Eh bien, tu te guides par l'inspiration?
- Certainement, et par la constance au travail.
- Puisque ce n'est pas suffisant, il faut savoir où on se dirige. Il faut étudier.
Alors, elle m'a recommandé la lecture de ce livre.
Je me suis appliqué avec le livre et j'ai vu toute la raison qu'elle avait.
Si je voulais que le papier s'employât dans la reliure le dessin devait être fonctionnel.
Je devais continuer de travailler et le transformer,
l'adapter pour que celui qui allait l'employer profitât de cela et ne pas attendre à qu’une autre inspiration, cette fois celle du relieur,
le guidera la main à couper le papier.
Ainsi je l'ai transformé.
Dans les photos suivantes vous pouvez voir les résultats. Ceux sont des modèles pensés pour obtenir deux gardes similaires...
Tu avais beaucoup de raison Joan, il faut faire les choses le meilleur qu'on peut, et étudier du dessin n'est jamais de plus.
Merci beaucoup par le conseil, et par ton amitié.
Quand j’ai fait ma version du dessin “Art nouveau”, qui semble être originellement un dessin allemand des années trente du XXe siècle, Joan m'a dit :
- “un joli papier, mais : a quoi sert-il ?”
Ici je mets encore une fois la photo du dessin original et une de mes premières versions, pour que vous voyez par où se déroule la question.
Je ne me suis pas rendu compte au commencement, et j'ai répondu que je peignais des papiers pour reliure et que le relieur serais qui devrait décider comment couper le papier.
Alors elle a attaqué à fond.
- As-tu étudié du dessin?
- Non, je n'ai pas étudié du dessin.
Et que en mélangeant du bleu avec du jaune ont obtient une vert est quelque chose que j'ai appris hier, comme on peut dire. Il y a des certaines choses, je crois, qu'ou sortent ou ne sortent pas, et il ne faut pas y penser plus.
- Eh bien, tu te guides par l'inspiration?
- Certainement, et par la constance au travail.
- Puisque ce n'est pas suffisant, il faut savoir où on se dirige. Il faut étudier.
Alors, elle m'a recommandé la lecture de ce livre.
Je me suis appliqué avec le livre et j'ai vu toute la raison qu'elle avait.
Si je voulais que le papier s'employât dans la reliure le dessin devait être fonctionnel.
Je devais continuer de travailler et le transformer,
l'adapter pour que celui qui allait l'employer profitât de cela et ne pas attendre à qu’une autre inspiration, cette fois celle du relieur,
le guidera la main à couper le papier.
Ainsi je l'ai transformé.
Dans les photos suivantes vous pouvez voir les résultats. Ceux sont des modèles pensés pour obtenir deux gardes similaires...
... ou quatre, qui conviennent plus à de petits formats.
J'ai pu aussi faire les arbres en noir, et ajouter des couleurs aux plumes.
Mercedes, ma femme, m'a donné la clé du modèle original :
- C'est un papier double.
- Oui, c'est un papier double,
on place l’arbre sur un fond de gouttes,
qui se peint isolé, dans une seconde marbrure du même papier.
Mercedes, ma femme, m'a donné la clé du modèle original :
- C'est un papier double.
- Oui, c'est un papier double,
on place l’arbre sur un fond de gouttes,
qui se peint isolé, dans une seconde marbrure du même papier.
Mais je reste avec ma version.
Le plus pareil à l'original serait comme ça.
L’arbre noir et les plumes rouges.
Mais avec mes peignes. Toujours avec mes peignes.
Le plus pareil à l'original serait comme ça.
L’arbre noir et les plumes rouges.
Mais avec mes peignes. Toujours avec mes peignes.
La dernière chose a été de peindre des papiers coordonnés.
Parce que,
et si quelqu'un veut-il faire une petite boîte comme le livre ?
Parce que,
et si quelqu'un veut-il faire une petite boîte comme le livre ?
Merci beaucoup par le conseil, et par ton amitié.
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